Bernadette
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« le: Octobre 16, 2011, 10:05:54 » |
Citation
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"Un jour, un commerçant entra dans un village avec sa caravane. au moment où il passa devant le temple, son ventre le fit tellement souffrir qu'il ne put se retenir et fit ses besoins juste devant la porte. Pris sur le fait, on l'amena devant le Mulla , juge des lieux, pour qu'il soit traduit en justice. Le Mulla lui demanda : "Aviez-vous l'intention de nous insulter? - Pas du tout! Je n'ai pas pu faire autrement. - Bien! Préférez-vous un châtiment corporel ou une amende? - Je préfère une amende! - Parfait. vous devrez donc payer à la cour une pièce d'or d'un denier. Le marchand fouilla dans ses poches et en sortit une pièce. Il dit à Mulla Nasrudin: -"J'ai une pièce de 2 deniers. Coupez-la en 2 et gardez-en une moitié." Mulla Nasrudin prit la pièce, l'examina et répondit au commerçant : "Non, cette pièce ne doit pas être coupée. Je la garde et, demain, vous aurez le droit de déféquer une nouvelle fois devant le temple."
Auteur inconnu MORALITE : IL FAUT FAIRE ATTENTION AUX ECOLES DANS LESQUELLES ON ENTRE, CAR PARFOIS IL S'AGIT DE GRANDS MAGASINS-BRADERIES. JE VOIS EN MULLA UN DE CES FAUX MAITRES QUI, NE VOIENT QUE DANS LE SACRE QUE CE QU'ILS PEUVENT EN TIRER. CE QU'ATTEND LE MAITRE C'EST TON DENIER ET NON TON ILLUMINATION. CAR PARFOIS CA COÛTE CHER, D'AUTRES FOIS MOINS. IL Y A UN PRIX. IL FAUT QUAND MÊME ÊTRE JUSTE. POUR L'ILLUMINATION, UN DENIER, C'EST BIEN, MAIS 2, C'EST PEUT -ÊTRE UN PEU TROP.
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