Cette parole de sagesse, d'une pertinence inouïe et venant d'un homme d'une époque lointaine, est plus valable aujourd’hui plus qu'autrefois.
On assiste dans nos temps, en effet, à un phénomène paradoxale: des personnes vivant dans l’opulence et l'abondance qui ne sont pas heureuses, alors que d'autres, qui sont pourtant démunies matériellement, sont heureuses.
Le bonheur, comme on le sait, ne peux donc résulter uniquement de la richesse matérielle, comme le prouve, d'ailleurs, les suicides et la délinquance qui se manifestent dans certains milieux fortunés. Comme le malheur ne peut être le fait uniquement de la pauvreté des ressources matérielles.
Il est fréquent de constater, rien qu'à travers les visages, que les personnes habitant des contrées loin des zones urbaines, vivant en symbiose avec la nature, sont plus souriantes et accueillantes que leurs semblables des villes et ce, malgré la sobriété de leurs conditions de vie.
L'explication fondamentale de cette situation réside, à mon sens, dans la crise des valeurs. On va souvent à contre-sens des valeurs fondamentales de l'humanité et ça débouche fatalement sur l'impasse. Notre enseignement scolaire en est quelque part responsable: on a donné beaucoup plus d'importance aux matières scientifiques et on a presque oublié l'enseignement de l'étique et des autres matières littéraires qui vont avec. La raison aussi de cette situation est imputable au marché de l'emploi qui est plus demandeur de techniciens que de littéraires.
  

Cette citation me fait rappeler l'idée qui dit que tout ce qui se ressemble s'assemble.
On se sent, en effet, à l'aise lorsqu'on est avec des personnes qui partagent avec nous les mêmes expériences.
Mais l’inconvenant de cette démarche, c'est qu'en agissant uniquement de la sorte nous nous imposons (consciemment ou inconsciemment) des limites à notre épanouissement en nous interdisant de profiter de l'expérience des autres personnes qui sont différentes de nous.
Tout compte fait, nous vivons tous sur le même bateau; s'il coule c'est notre fin à nous tous. Aussi avons-nous intérêt à s'entraider  et à progresser ensemble, et ce abstraction faite de nos divergences politiques, religieuses ou autres.
Aussi, dirai-je moi dans un sens et contrairement à Mikaël Aivanhov, mettons de coté nos différences et concentrons-nous sur ce qui nous unis; c'est comme ça qu'on va rendre notre coexistence possible, durable et fructueuse.

Bien à vous
Assassi Mustapha

Bonjour tout le monde,

Je reviens à la proposition d'Elise pour définir le bonheur et vous livre mon modeste point de vue à ce sujet et ce, à travers les quelques expériences que j'ai vécues.

Pour moi le bonheur c'est une sensation de satisfaction qui s'exprime chaque fois que:

-je fais une bonne action;
-lorsque je me sens en sécurité matérielle;
-lorsque je voix que mon entourage est heureux;
-lorsque je sens le message que je souhaite transmettre a été bien compris;
-lorsque je sens que je suis bien sentimentalement;
-lorsque je me sens en paix avec moi même et avec les autres;
-après un travail ou une mission bien accompli;
-lorsque je me sens en sécurité spirituelle après une prière purifiante qui me fait oublier le monde matériel.