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Résumé de la discussion
Posté le: Septembre 18, 2012, 07:46:02
"Posté par": Herve
   "Comme je réfléchissais tristement le cœur gros et les yeux pleins de larmes, je sentis un souffle tiède me passer sur le visage. J’étendis la main en avant et je rencontrais le poil laineux de Capi. Il s’était doucement approché de moi, s’avançant avec précaution sur la fougère, et il me sentait ; il reniflait doucement : son haleine me courait sur la figure et dans les cheveux. Que voulait-il ?

   Il se coucha tout près de moi, et délicatement il se mit à me lécher la main. Tout ému de cette caresse je me soulevai à demi et l’embrassai sur son nez froid. Il poussa un petit cri étouffé, puis, vivement, il mit sa patte dans ma main et ne bougea plus.

   Alors j’oubliai fatigue et chagrin ; ma gorge contractée se desserra, je respirai, je n’étais plus seul : J’avais un ami."  [Hector Mallo, extrait de Sans Famille]
 
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   "Il est des hommes dit Socrate, qui mettent tous leurs soins à cultiver des arbres pour en recueillir les fruits, et qui ne s’occupent qu’avec paresse et insouciance de ce bien le plus productif de tous, qu’on appelle un ami." [Xénophon d’Athènes]
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